Patrick BALKANY : “Fleury, c’est fini !”
Silhouette agrandie par sa maigreur et des cheveux qui lui tombent dans le cou, malgré la maladie, Balkany à l’air d’un vieil ado beatnik. Malgré ses fripouilleries passées, il paraît toujours aussi sympa avec son éternel sourire et sa gouaille de flambeur. Il est néanmoins condamné à moins se faire entendre, notamment avec la sonnerie de son bracelet électronique.